Un revenu locatif gravé dans le marbre !  

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Publié par Wizi le 28/05/2023, modifié le 29/05/2023.

           Les propriétaires bailleurs qui ne montrent aucune appréhension à l’approche de l’échéance du versement de leur(s) loyers(s) ne sont pas légion et seraient de plus en plus rares.

           Car il faut dire que l’inflation et la baisse parallèle du pouvoir d’achat de bien des ménages ne créent pas les conditions favorables au règlement sans faille d’une échéance qui pèse lourd dans les budgets.

   

Des conditions favorables aux impayés

           On observe en effet un décrochage entre les loyers et les revenus qui met de nombreux locataires aux revenus modestes dans une position critique, à tel point que dans le logement social, par exemple, le nombre d’impayés de loyers de plus de trois mois a augmenté de 10 % en un an.

           Il est vrai que le poids du loyer dans le budget des ménages est inégal puisque déjà en 2017 l’Observatoire des inégalités constatait que les 10 % les plus modestes consacraient au logement jusqu’à 42 % de leurs revenus, soit 10,7 points de plus qu’en 2001, tandis que les 10 % les plus aisés n’y consacraient que 10,8 %, soit à peine 1 point de plus qu’en 2001.

           Rien d’étonnant donc à ce qu’en 2023, augmentation des charges locatives, inflation générale flirtant avec les 6% (mais environ 15% pour les produits alimentaires !) mais aussi revenus à la traîne décuplent les risques d’impayés.

Des situations variées

           On doit bien évidemment distinguer différents cas d’incidents de paiement, car si tous plongent le bailleur dans une situation de doute, ils ne se distinguent pas moins par la manière dont ils peuvent être traités, couverts (assurés) ou mieux encore … anticipés.

           Car il ne faut pas oublier que, jusqu’à l’échéance du mois suivant, le non-paiement du loyer du mois ne constitue qu’un retard de paiement, difficile à couvrir par une GLI (Garantie des Loyers Impayés) classique.

           Et dans bien d’autres cas le locataire en difficulté, mais de bonne foi, peut également souhaiter négocier un paiement échelonné avec un premier versement partiel, situation également non couverte par une GLI.

Une solution idéale

           Nombre de propriétaires bailleurs se retrouvent donc dans des situations où, souhaitant conserver un locataire habituellement fiable, ils se mettent eux-mêmes en difficulté pour, par exemple, rembourser leur emprunt auprès d’une banque qui ne sera pas aussi conciliante !

           C’est bien pour couvrir tous ces cas de figure que Wizi a lancé, il y a déjà 3 ans, sa formule « Paiement du loyer le 5 du mois quoi qu’il arrive », une solution  100% sérénité pour ses clients propriétaires bailleurs et qui montre de plus en plus sa pertinence dans un marché locatif si chahuté.

   

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