Le blog Wizi

Les lourdes conséquences de la crise immobilière en cours ont contraint le ministère du logement à intervenir en proposant une loi composée de mesures destinées à faciliter le développement de l'offre de logements. Suffisant ?

Les épisodes successifs de sécheresse mettent à rude épreuve les bâtiments dont les fondations se retrouvent fragilisées par un phénomène de retrait/gonflement des sols argileux. Et c'est souvent une catastrophe !

Depuis plus de 20 ans se déverse dans l’immobilier une masse croissante de capitaux financiers à objectif de rentabilité immédiate mais qui déstabilise le secteur.

Et s'il existait un pays où l'on ne parlerait même pas de l'immobilier locatif puisqu'il n'y aurait rien à dire ?

Après des mois et des mois de crise, certains signes permettent d'espérer que le secteur de l'immobilier pourrait enfin se redresser.

 La trêve hivernale vient de prendre fin le 31 mars 2024. C'est un soulagement pour bien des propriétaires engagés dans une procédure judiciaire visant à expulser leur locataire, mais n'augure rien de bon sur le taux d'impayés à venir.

 La proptech a suscité ces dernières années bien des espoirs dans l'immobilier, mais bien que le modèle de développement des startups impliquées se soit essoufflé, il n'en reste pas moins que le secteur a été dépoussiéré !

 Face au risque d'une situation durable d'impayés ou de squat on peut essayer de respecter la loi et les procédures, de les accélérer plus ou moins légalement, ou mieux de les éviter !

 Mettre son bien en location courte durée ou en longue durée constitue un choix de plus en plus difficile au regard de l'instabilité des conditions économiques mais surtout d'une législation et d'une réglementation changeantes.

 Falsifications, vacance locative, impayés, dégradations, squats, incivilités, les motifs d’inquiétude d’un propriétaire bailleur ne manquent pas !